Des poches dans la poche · février 2018
lundi, février 12, 2018De nouvelles tentations paraissent en format poche en ce mois frisquet! Voici celles que j’ai repérées.
dans la catégorie lu et approuvé
Le roman met en scène la
figure inoubliable de Duddy, garçon juif qui a grandi à Montréal pendant la
guerre, entre les boutiques minables et les terrains vagues de la rue
Saint-Urbain, mais qui voit grand pour son avenir. Afin d’échapper à la
pauvreté de ses origines, Duddy multiplie les entreprises plus ou moins
bancales: il travaille dans un hôtel de luxe, il lance une compagnie de
production qui filme les mariages et les bar-mitsvas de la communauté. Mais,
surtout, il achète des terrains à Sainte-Agathe, dans les Laurentides, parce
que son grand-père, Simcha, lui a toujours répété qu’un homme qui ne possédait
pas de terres n’était personne. Grâce à Yvette, la jeune Canadienne française
qui l’aime et qui le soutient dans ses entreprises, Duddy voit la réussite lui
sourire, jusqu’au jour où son ambition l’amène à commettre l’irréparable.
Hiver 1867, la famine frappe la Finlande. Marja abandonne ferme
et mari avec Mataleena et Juho, ses deux enfants, pour tenter de rejoindre
Saint-Pétersbourg et ses promesses de vivres. Mais la route est longue jusqu’à
la capitale de l’Empire russe et nombreux sont ceux qui, poussés par la faim,
se dirigent vers le sud. Le froid mordant, la fatigue et la peur tentent
d’avoir raison de l’humanité de ceux qui se battent pour leur survie, réduits à
des spectres faméliques parmi les ombres. Alors que partager revient à se
condamner, Marja mendie et se prive pour nourrir ses enfants. La limite qui
séparait les morts des vivants s’amenuise à mesure que les affamés progressent
au coeur de l’implacable hiver.
Ils se rencontrent à l’université. Ils se marient très
vite. Nous sommes en 1991. À vingt-deux ans, Lotto et Mathilde sont beaux,
séduisants, follement amoureux, et semblent promis à un avenir radieux. Dix ans
plus tard, Lotto est devenu un dramaturge au succès planétaire, et Mathilde,
dans l’ombre, l’a toujours soutenu. Le couple qu’ils forment est l’image-type
d’un partenariat réussi. Mais les histoires d’amour parfaites cachent souvent
des secrets qu’il vaudrait mieux taire. Au terme de ce roman, la véritable
raison d’être de ce couple sans accrocs réserve bien des surprises.
LES FURIES – LAUREN GROFF – POINTS
dans la catégorie le grand format m'attend
CET ÉTÉ-LÀ – LEE MARTIN – 10-18
dans la catégorie je suis tentée
LA MORT DU PETIT COEUR – DANIEL WOODRELL – RIVAGES POCHES
UN SINGULIER GARÇON – KATE SUMMERSCALE – 10-18
SALE BOULOT – LARRY BROWN – TOTEM GALLMEISTER
ÉLASTIQUE NÈGRE – STÉPHANE PAIR – 10-18
LA CHAIR– ROSA MONTERO – POINTS
Des tentations parmi ces titres?
25 commentaires
Je ne sais pas si c'est un bon point que je n'en connaisse aucun...!
RépondreSupprimerY'a pas de bon ou de mauvais point. Seule la curiosité est importante!
SupprimerToujours tentée par un nouveau Totem :p Et puis aussi par Cet été-là, déjà intriguée lors de sa sortie en grand format (Sonatine c'est tjs du bon!) et puis je dois avouer que le résumé de La chair me dit bien aussi... Je note, mais pas des achats immédiats!
RépondreSupprimerY'a aucune presse, hein!
SupprimerDe mon côté, le seul que je ne veux absolument pas manquer, c'est le Larry Brown en Totem. Avec la claque de "Père et fils", je compte bien tout lire de cet Américain.
Je vais éventuellement en venir à "Cet été-là" lorsque l'envie d'un polar me reviendra...
La faim blanche me tente - et Woodrell, mais je l'ai déjà en anglais et grand format.
RépondreSupprimersinon, j'en lis un actuellement :-)
Pour "La faim blanche", si tu y tiens, attends d'être ici. Je vais te refiler mon bel exemplaire La Peuplade!
SupprimerWoodrell... J'ai du retard dans ma découverte!
Oui pour "la faim blanche" ! Merci :-)
SupprimerJ'ai mis un livre de côté pour toi ce soir .. lalala
ah Woodrell, j'ai presque tous ses livres !
Je n'avais pas vraiment apprécié Les furies. C'est bizarre, car en France, il a été salué unanimement par la critique, or personne dans mon club de lecture ne l'a aimé, ce qui est rare. La faim blanche ne l'a pas laissé un souvenir impérissable non plus - décidément! En revanche, je suis bien tentée par Un garçon singulier qui m'a tout d'air d'être une enquête passionnante sur l'époque victorienne tirée d'un fait divers réel.
RépondreSupprimerÉtonnant à quel point "Un garçon singulier" est passé totalement inaperçu à sa sortie en grand format. C'est vrai qu'il coûtait la peau des fesses, mais il y a toujours les bibliothèques! Moi, en poche, il me tente beaucoup, même si l'époque victorienne n'est pas ma tasse de thé. Pour l'enquête, justement, et pour les personnages.
SupprimerJ'ai lu "Les furies" et... il ne m'en reste rien, sinon que je me souviens que ça se passait à New York. C'est tout dire.
Pour "La faim blanche", j'en garde une atmosphère de froid plus qu'une intrigue. C'est tout dire, encore!
Curieuse de découvrir Les Furies, tentée aussi par La chair de Montero ;)
RépondreSupprimerComme je l'écrivais à Virginie, j'ai lu "Les furies" et il ne m'en reste rien. Je me souviens seulement que ça se passait à New York et que les personnages m'ont laissée plutôt indifférentes. C'est tout dire. N'empêche qu'il a eu de très bons échos, ce roman.
SupprimerBien envie de découvrir enfin Montero... À suivre!
Pas pour cette fois!
RépondreSupprimerMais bon, ma liste d'achats prévus est déjà longue jusqu'en juin donc... c'est parfait comme ça! ;)
Oui, parfait comme ça! Et ce n'est pas plus mal, bien au contraire!
SupprimerBonne nouvelle pour " Les Furies ". J'ai croisé " Sale boulot " et regretté de ne pas l'avoir emmené. Pour " La chair " de R.Montero, je l'ai lu à sa sortie, sympathique lecture mais qui manque de profondeur ( ou alors j'en attendais trop après la lecture de " L'idée ridicule de ne plus te revoir " )
RépondreSupprimerJe veux mettre la main sur "Sale boulot" et poursuivre ma découverte de Larry Brown depuis que j'ai été fortement ébranlée par "Père et fils", que je te recommande fortement!
SupprimerTiens! Après avoir lu le résumé, je vais peut-être plutôt découvrir Rosa Montero avec "L'idée ridicule de ne plus te revoir". Merci du filon!
Faim blanche est dans ma pal. Tentée par Sale boulot et pourquoi pas découvrir Les furies.
RépondreSupprimerMerci pour ce "défrichage littéraire". :)
Je garde peu de souvenirs de "La faim blanche". Maintenant que je suis allée relire mon billet, les souvenirs affluent. C'est plutôt bien!
Supprimer"Sale boulot", à ne pas manquer. S'il est aussi époustouflant que "Père et fils" que j'ai adoré, ça promet. Avec Larry Brown, c'est du lourd (très lourd, même)!
"Cet été-là" me tente !
RépondreSupprimerIl a beaucoup fait jaser, et plutôt en bien. Faudrait bien que je me décide!
SupprimerMon envie de polars est éteint, ces temps-ci!
J'avais beaucoup aimé "La faim blanche" !
RépondreSupprimerOui, je me souviens bien. Tu l'as aimé un peu plus que moi!
SupprimerJ'ai lu le Montero et Les Furies et maintenant que le temps a passé, je me rends compte que je n'en ai pas gardé beaucoup de souvenirs.
RépondreSupprimerAh, ces romans qui ne laissent aucune marque... Jamais bon signe. Ils ne restent pas longtemps dans mes bibliothèques, ceux-là. C'est ce qui est arrivé, notamment, avec "Les Furies"!
SupprimerLa mort du petit coeur me tente bien, à te lire...
RépondreSupprimerJ'ai les Furies dans ma PAL, mais j'en ai tant entendu parler (en terme de déception) que je ne sais pas si je m'y aventurerais un jour. Et la couverture de mon édition est tellement laide qu'elle me tient à distance - de l'importance de faire une belle couverture alléchante ;)
Avec Daniel Woodrell, c'est du lourd. Du moins pour les romans que j'ai lus. Tu es prévenue!
SupprimerDéception de mon côté pour "Les Furies". Finalement, il y a eu beaucoup de bruit pour pas grand chose. Les avis sont plus mitigés qu'emballés.
Les couvertures alléchantes... J'ai une nouvelle idée de billet, là-dessus! À suivre...